Le Mexique n’est pas un pays pauvre, c’est un pays de pauvres.

À l’approche de l’élection présidentielle du 1er juillet, qui ne compte qu’un seul tour, ce journal mexicain fait le constat amer des extrêmes inégalités de statut, de revenus et de droits dans le pays, adossées à un système économique ultralibéral.
Dans ces régions, la misère et le travail au noir sont le lot de 70 % de la population. Le point commun de ces deux fléaux est la précarité. Quelque 53 millions de Mexicains vivent dans cette situation.
Remplacer Mexique par Madagascar, ainsi que date et chiffres, et l’article se tient.
Courrier international